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  • General

  • Comment vous habiller pour l’entretien d’embauche ?

    • Il n'est jamais évident de savoir de quelle manière s'habiller durant un entretien d'embauche. Il est nécessaire de paraître crédible aux yeux de l'employeur, sans pour autant afficher un visage trop lisse ou trop austère.

      Presque tout le monde se demande comment s'habiller pour un entretien d'embauche. Est-ce vraiment nécessaire pour un homme de porter un costume alors que d'habitude, il n'en porte jamais ou presque ? Est-ce qu'une femme doit vraiment porter des bas nylon et une minijupe pour faire bonne impression ? Ou est-ce que votre recruteur appréciera justement le fait que vous soyez vous-même si vous vous habillez comme d'habitude ?

      S'il est impossible de répondre avec certitude à  ces questions, on sait néanmoins que le soin apporté à  votre apparence sera toujours apprécié. Il s'agit simplement de montrer que vous trouvez cet entretien important et que vous êtes prêt à  vous donner du mal pour obtenir ce poste.  Adaptez votre style vestimentaire à  l'entreprise et à  la fonction pour laquelle vous postulez. S'il s'agit plus d'une fonction de représentation, le recruteur mettra davantage l'accent sur votre apparence extérieure. Mais quel que soit le poste, les vêtements de loisir tels que les jeans, les shorts et les T-shirts sont à proscrire.

      Si vous êtes nouveau dans la branche, faites éventuellement une visite de repérage. Rendez-vous dans la société et regardez ce que les gens portent. Cela vous permettra d'avoir une première impression quant à  la culture de l'entreprise et vous évitera de vous perdre le jour de l'entretien.

      Peu importe ce que vous portez, veillez à vous sentir à  l'aise. Si vous n'êtes pas habituée à  porter une jupe et des hauts talons, optez plutôt pour un long pantalon. Si vous ne supportez pas les cravates, portez simplement une chemise habillée. Avant l'entretien d'embauche, vous pouvez  de demander à une personne voyante de confiance (ami / parent / professionnel) de vous aider à trouver une tenue adéquate pour l'occasion.

      Ne soignez pas seulement votre style vestimentaire. Pensez également à  votre hygiène corporelle. Il est normal qu'un morceau de nourriture reste parfois calé entre vos dents, mais si la seule chose que votre interlocuteur remarque lorsque vous lui souriez est un reliquat de feuille de salade, vous ferez sans doute chou blanc.

      (Cascio & Ebels, 2016, p35 et Référence.be, consulté 25/09/2019)

  • Le langage du corps

    • Votre façon d'agir avec votre corps a une grande influence sur la façon dont vous êtes perçu par les autres. Une grande partie de la communication entre les personnes se fait par contact visuel, expressions faciales, gestes et autres aspects du langage corporel. Ces aspects peuvent être très difficiles pour une personne ayant une déficience visuelle. Si une personne est aveugle, elle ne peut pas voir le langage corporel des autres et elle manque donc une partie de la communication interpersonnelle. Pour une personne ayant une déficience visuelle, le langage corporel perçu des autres dépend d'une personne à l'autre.

      Il est important d’apprendre aux déficients visuels les compétences corporelles en langage corporel car, dans certaines situations, leur langage corporel peut faire défaut. Cela amène les autres à les percevoir comme étant moins capables, amicaux ou sociables qu’ils  pourraient être en réalité. Cela peut être particulièrement problématique pour les personnes qui ont été aveugles toute leur vie. En tant qu'enfants, nous apprenons à utiliser le langage corporel en observant les adultes et en imitant leurs comportements. Quelqu'un qui a toujours été aveugle a raté cet apprentissage visuel. Il est particulièrement important d'enseigner à ces personnes comment utiliser leur langage corporel.

      Le premier aspect important d’une bonne communication non verbale est de garder un contact visuel. En regardant nos interlocuteurs, nous leur indiquons que nous les remarquons ou les écoutons. Bien sûr, il est souvent très difficile, voire impossible, pour une personne déficiente visuelle, d’établir un contact visuel précis. Cependant, il est possible de simuler le contact visuel à un niveau très crédible. On peut le faire en tournant la tête et en l'inclinant vers l'endroit d'où provient la voix de l'autre personne. Les personnes qui ne sont pas habituées à avoir affaire à une personne déficiente visuelle apprécieront grandement cela, car cela leur donne l’illusion qu’elles ont vraiment un contact visuel.

      La posture du corps est un autre élément fondamental d’une bonne communication non verbale. Une position voûtée suggère de la paresse ou une faible estime de soi, tandis qu'une position droite montre de la confiance en soi et de la compétence. Cela est vrai que vous soyez assis ou debout.

      Une troisième partie importante du langage corporel est la réplique. Refléter le comportement de son interlocuteur consiste essentiellement à imiter le langage corporel de ceux avec qui vous êtes en contact. Par exemple, lorsque deux personnes parlent, il est normal qu’elles reflètent leur langage corporel. Si une personne est debout, l'autre se lèvera presque automatiquement et vice versa. Une conversation entre une personne assise et une personne debout peut  être très inconfortable.

      Une dernière astuce concernant le langage corporel qui a une influence lors d’un entretien d’emploi est la poignée de mains. Au moment de la rencontre avec l'intervieweur et au moment de se quitter, vous échangez une poignée de main. Si vous êtes non ou malvoyant, c'est un moment qui peut être délicat car vous ne voyez pas leur main. La meilleure chose à faire, c'est de prendre l’initiative et de tendre vous-même la main vers votre interlocuteur en début et à en fin de rencontre. Ils vont automatiquement saisir votre main. Lorsque vous lui serrez la main, il est important de maintenir une certaine tension dans la main. Si votre main est trop molle, vous allez passer pour une personne qui a peu de confiance en elle. Si vous utilisez trop de force, vous risquez d'être perçu comme trop fort et dominant. Il est important de trouver le bon équilibre de force. Ici, vous pouvez également utiliser la technique du miroir: si quelqu'un vous donne une poignée de main forte, rendez-lui une poignée forte et vice versa.

      Source : Cascio & Ebels, 2016, p33-34.

  • Comment parler durant l’entretien d’embauche (rapidement, lentement) ?

    • Lors d'un entretien d'embauche, vous devez parler et surtout vous présenter. Voici quelques conseils pour vous aider lors de l'entretien:

      • Pensez à l'avance à ce que vous voulez dire et dans quel ordre vous voulez le dire. La structure de votre présentation est très importante. Une structure claire facilitera la mémorisation de votre présentation.

      • Parlez clairement, fort et pas trop vite.

      • Essayez de ne pas trop dire «hmm»; il est préférable de faire une pause et de réfléchir à ce que vous voulez dire. Rester silencieux pendant quelques secondes sonne beaucoup mieux que de dire «hmm».

      • Ayez un langage corporel ouvert et énergique, soyez conscient des maniérismes qui vous distraient. Vous pouvez vous entraîner devant certaines personnes qui vous connaissent bien et leur demander si elles ont repéré un maniérisme ou un langage corporel gênant.

      • Il est utile d’être passionné par le sujet dont vous parlez.

      • Trouvez le bon équilibre: être un peu stressé avant et pendant un entretien est normal et acceptable. Si vous êtes trop stressé ou effrayé, essayez de vous concentrer un peu sur votre respiration. Le meilleur moment pour le faire est juste avant de commencer votre présentation. Prenez quelques grandes respirations avant de commencer à parler.


      • Ne lisez pas le texte d’un papier ou d’un écran d’ordinateur, à moins qu’il s’agisse d’une citation courte.

      • Apprenez à connaître la salle ou le lieu avant. De cette façon, vous serez plus confiant au début de votre présentation.

      • Essayez de pratiquer à l'avance, car la plupart des gens ont plus de confiance en eux lorsqu'ils qu’ils se sont entrainé plusieurs fois. Se présenter, c'est un peu comme jouer dans une pièce de théâtre: vous ne voudriez pas jouer dans une pièce sans la pratiquer en préalable! Vous pouvez vous entrainer à une série des questions types.

      • Assurez-vous de regarder vers le comité, même si vous ne pouvez pas le voir.

      Voici quelque exemple de question type pour vous préparer. Elles sont chaque fois suivi d’un conseille pour y répondre:

      Parlez-moi de vous ? / Présentez-vous en quelques mots.
      • La réponse idéale devra être concise, mais contenir suffisamment d'informations sur votre expérience et vos aptitudes, notamment celles en lien avec le poste à pourvoir, pour que le recruteur puisse cerner ce que vous pourrez apporter à l'entreprise.

      En quoi le poste à pourvoir vous intéresse-t-il ?
      • En posant cette question, le recruteur cherche à s'assurer que la démarche de son candidat ne s'inscrit pas dans le court terme. Il recherche des personnes motivées par le poste à pourvoir et par la société qui le propose. Cette question est une occasion de montrer vos connaissances sur l’entreprise est ses particularité. Montrez que vous êtes bien renseigné sur l’entreprise. Consultez son site et faites quelques recherches sur internet. Soulignez le lien entre des caractéristiques positives de la société et votre personnalité ou vos qualités. Faites de même avec l’offre d’emploi : décrivez les aspects qui vous attirent dans la description de fonction.
        Une stratégie complémentaire pour répondre à cette question ? Celle "d'ouvrir" le sujet en expliquant à son interlocuteur que l'on s'intéresse non seulement à l'entreprise et au contenu du poste, mais aussi à ses produits, à ses hommes, à sa culture d'entreprise, à l'évolution de la fonction visée à 1, 2 et 3 ans...

      Quels sont vos qualités et vos défauts ? / Quel est votre principal défaut ?
      • Cette question est importante à préparer. Attention toutefois à ne pas donner l’impression d’avoir étudié un texte par cœur : réfléchissez quelques instants avant de répondre. Souvent les demandeurs d'emploi cherchent à déguiser un point positif en point négatif. "Je suis un bourreau de travail", "je suis trop perfectionniste" sont parmi les exemples les plus classiques. Mauvaise stratégie : ce type de réponses peut donner l'impression d'avoir été préparée à l'avance et sonne souvent faux...
        Une meilleur manière de répondre à cette question serait de parler de ses "points de vigilance" ou ses "points d’amélioration", telles que des carences techniques et/ou relationnelles sur lesquelles on cherche à se perfectionner. Il s'agit là de faire une autocritique honnête et d'expliquer en toute humilité comment l'on travaille sur ces points pour les améliorer, ce qui montre une capacité de rebond ! Par ailleurs, n’hésitez pas à souligner que vous avez su tirer des leçons des difficultés rencontrées auparavant.
        À l’inverse, ne vous lancez pas dans un inventaire exhaustif de vos défauts, vous passeriez pour un candidat à problèmes. A ce moment de l’échange, pensez à manier l’humour et l’auto-dérision, voire la provocation avec parcimonie.

      Parlez-moi brièvement de votre emploi précédent / de vos études.
      • Ne critiquez jamais votre ancien employeur, dites plutôt que vous êtes à la recherche d’un nouveau défi. Faites le lien entre vos études et l’offre d’emploi : insistez sur les aspects de votre formation qui sont pertinents dans le cadre de la fonction proposée.

      Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
      • Montrez que vous êtes ambitieux, sans être arrogant. Vous pouvez bien sûr vous informer des possibilités d’évolution du job, mais faites-le avec prudence.

      Espérez-vous un horaire 9 – 17h et accepteriez-vous de travailler le week-end ?
      • Cette question vise à mesurer votre niveau de flexibilité. Dites que vous êtes prêt à travailler le week-end si cela s’avère nécessaire. Quant à l’horaire, il dépend du secteur. Si vous postulez dans le secteur bancaire, par exemple, vous aurez un horaire fixe ; ce ne sera en revanche pas le cas dans le secteur publicitaire.

      Pourquoi devrions-nous vous choisir ?
      • Parlez de ce qui vous distingue de vos concurrents et expliquez votre réelle motivation pour cet emploi. Soulignez aussi votre soif d’apprendre et votre état d’esprit positif.

      Questions spécifiques
      •  « À quel objet pourriez-vous vous comparer ? » Ce type de question est très difficile à anticiper et donc, à préparer. Restez calme avant tout et réfléchissez un peu (mais pas trop longtemps). Soyez confiant.

      Quelles sont vos attentes salariales ?
      • Renseignez-vous d’abord sur les salaires en vigueur dans ce secteur. Cela dépend de la région dans laquelle vous travaillez et de votre ancienneté. Faites éventuellement un comparatif avec votre salaire actuel. Ne soyez pas trop gourmand, mais pas trop peu non plus.

      Quand pouvez-vous commencer ?
      • Cette question est probablement la plus facile de toutes. Si vous êtes fraîchement diplômé, répondez que vous êtes disponible immédiatement. Si vous travaillez, vous ne serez évidemment disponible qu’après votre période de préavis.

      Avez-vous d’autres procédures de sollicitation en cours ?
      • Mieux vaut répondre honnêtement à cette question. Si vous souhaitez vraiment décrocher ce job, faites-le clairement savoir.

      Avez-vous d’autres questions ?
      • La bonne stratégie ici est de poser quelques question(s) ciblée(s) au recruteur, véritable signe d'intérêt pour le poste à pourvoir. A savoir des questions, par exemple, sur la culture d'entreprise, sur les critères choisis pour juger le collaborateur durant la période d'essai, le principal écueil du poste... Et pourquoi ne pas demander également au manager rencontré les raisons qui l'ont poussé à rejoindre l'entreprise ?

        Pour se préparer à cette question, un mot d'ordre avant l'entretien : penser à 10 choses que l'on aimerait savoir à propos de l'entreprise et sur des aspects de la fonction qui paraissent "obscurs". Il sera ainsi plus facile de demander : "Qui sera mon responsable ? Quel est son parcours ?" ou "Que pensez-vous de l'acquisition de la société X par le principal concurrent de votre entreprise ?". Il est bien sûr possible que des réponses à certaines de ces questions aient été apportées au cours de l'entretien, mais il y aura aussi de fortes chances qu'il en reste quelques-unes à poser à la fin.

        Une autre consigne ? Attention aux questions qui sont en revanche à différer... Il est totalement inutile et même risqué de chercher à obtenir dans l'immédiat des informations sur le salaire, les avantages ou les congés proposés avant qu'une proposition d'embauche n'ait été faite. Dans le cas contraire, le recruteur risque de croire que seuls ces éléments intéressent le candidat.


      Source: Cascio & Ebels, 2016, p31-32 et stepstone.be consultée le 28/10/2019.

  • Quelles sont les technologies qu’on utilise ?

    • Que ce soit lors de la rédaction d'une lettre de motivation ou au cours d'un entretien d'embauche, il est très important de mettre en avant vos compétences.

      Il est important de montrer à l'employeur que vous avez des compétences informatiques de base et que vous maîtrisez des logiciels tels que Word, Excel, PowerPoint, etc...  

      Ce n'est pas tout: la bonne utilisation des technologies et équipements adaptés à votre déficience visuelle fait partie de vos compétences. Montrer ces outils à votre employeur potentiel peut l'aider à comprendre que vous pourrez réaliser votre travail correctement et en toute autonomie.

      Il est également nécessaire d'informer l'employeur de vos besoins spécifiques (ordinateur avec logiciels adaptés, etc...)

  • Comment expliquer le handicap ?

    • Préparez un certificat de handicap qui donne un aperçu de vos capacités visuelles et de la manière dont vous compensez votre déficit visuel, et met surtout l'accent sur vos aptitudes et votre capacité à effectuer le travail. 

      Expliquez de quelle manière vous pouvez réaliser des tâches déterminées de manière compétitive par rapport à des travailleurs qui ont une bonne vue, en travaillant de manière différente.

      Source: http://www.perkins.org/services/workplace/job-seekers/interviewing-successfully ( Consulté le 4 juin)

  • Quand et faut-il dévoiler son handicap

    • Devrions-vous mentionner la déficience visuelle dans le CV / la lettre de motivation?

      Nous dirions: non!

      En fait, nous vous conseillons de ne mentionner votre handicap dans le CV / la lettre de motivation que si vous êtes certain que cela soit un point fort pour le poste à pourvoir.

      Mais cela peut aussi dépendre de plusieurs facteurs et il est important de les évaluer pour prendre une décision responsable.

      Nous vous suggérons d’examiner la mission et les valeurs ainsi que la culture d’entreprise; et enfin, la culture de votre pays. Ensuite, vous devez être sûr de pouvoir exécuter le travail pour lequel vous postulez.

      Si vous pensez que votre handicap peut être perçu comme une valeur ajoutée ou un point fort par l'entreprise, en raison de ses valeurs et de sa culture, ou du type de tâches que vous devriez exécuter si vous êtes engagé, vous pouvez décider de le mentionner dans le CV / lettre de motivation.
      Autrement, nous vous conseillons de ne pas le mentionner.

      Si vous décidez de ne pas mentionner votre handicap dans le CV / la lettre de motivation, gardez à l'esprit que, si vous êtes contacté pour un entretien d'embauche, le recruteur s'en apercevra sans aucun doute.

      À ce moment-là, avant l'entretien d'embauche, vous devez décider si vous souhaitez informer l'employeur (par exemple, si vous appelez pour savoir comment vous rendre au lieu de travail de l'entreprise, vous pouvez mentionner votre déficience visuelle en expliquant que vous devez savoir comment s'y rendre en bus), ou lors de l'entretien proprement dit: dans ce cas, ne soyez pas surpris si le recruteur est surpris de votre arrivée! Et soyez prêt à faire face à sa réaction.

      Un exemple intéressant est celui d'une postulante aveugle qui avait emmené différentes aides techniques à l'entretien d'embauche, afin de les montrer à son employeur potentiel. Cela peut effectivement être une bonne idée. L'intervieweur verra de ses propres yeux que la technologie adaptée existe et peut aider les personnes déficientes visuelles à effectuer de nombreuses tâches.

      Un autre exemple concret: dans le passé, un jeune Italien a déclaré avoir mentionné sa déficience visuelle dans sa lettre de motivation. Il a brièvement décrit le fonctionnement d'un lecteur d'écran et a ajouté l'adresse du site Internet d'un fabricant de lecteurs d'écran afin que la société puisse obtenir davantage d'informations. Grâce à cela, il a pu obtenir le poste sans problème, car l'entreprise s'est informée et l'employeur s'est senti plus à l'aise d'embaucher une personne déficiente visuelle.

      Malheureusement, il faut constater que les recruteurs et les employeurs ne sont pas toujours aussi ouverts d’esprit… ils ont souvent de préjugés ou de stéréotypes.

      Si vous parvenez à obtenir le poste, votre défi pourrait être de démontrer qu'une personne aveugle peut être une ressource pour les autres travailleurs et que, parfois, le handicap peut constituer une valeur ajoutée pour l'entreprise ! Par exemple, grâce à l'engagement d'un travailleur aveugle, l'entreprise peut décider de traiter toutes les données en format électronique, éliminant ainsi l'impression sur papier de milliers de documents sur papier.

      Source: Cascio & Ebels, 2016, p19-20.